• Une voyante confirme : Le vendredi 13, ce n’est que du pipeau ! ❦ Dossier PSJ 13

     Mardi dernier, la célèbre voyante Irma De La Tardé a fait part d’une découverte “exceptionnelle et unique dans l’histoire moderne”, selon les dires de la principale concernée. En effet, on ne peut ignorer ce scoop, car il n’y a pas d’autre mot pour désigner cet événement.

    Dimanche soir, à 11h34 très précisément (“je garderai en mémoire chaque instant de cet expérience incroyable”, nous a confié Mme De La Tardé), la voyante sort observer les étoiles à la demande d’un de ses clients, pour le lendemain matin. Afin de préserver sa vie privée, nous ne dévoilerons pas son nom ici. Alors que Mme Irma calcule la conjonction entre Vénus et Jupiter, elle remarque simultanément trois étoiles filantes se dirigeant toutes en direction d’Alcor (une étoiles de la Grande Ourse). Pour Irma De La Tardé, il ne fait aucun doute que “ce présage signifie qu’une erreur humaine de grande importance a été commise pendant des siècles en astrologie”, nous raconte-t-elle. “La croyance populaire qui prédit que les vendredi 13 portent malheur - ou bonheur - est totalement infondée. Selon mes calculs, cette date n’a pas tenue compte de la loi de Fgpronennvoe [célèbre physicien du 34ème siècle de l’air de freobhvs]. Ainsi, ce ne sont pas les vendredi 13 qui influent sur le degré de chance ou malchance, mais bien les jeudi 22”. Cette découverte pour le moins inattendue attend d’être confirmée par la communauté scientifique, ainsi que par la Française des Jeux qui pourrait bien voir sa clientèle des vendredi 13 réduite de moitié.

    Image : vue d’artiste de la scène dont a été témoin Mme Irma De La Tardé

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  • Mutations génétiques en pleine campagne ❦ Dossier PSJ 13

     Le jeudi 32 mars dernier, 2 touristes ont fait une découverte sensationnelle. “Nous étions à la recherche de jonquilles, près de F**** [afin de protéger ce site exceptionnel, nous avons censuré le lieu de la découverte], quand notre regard a été attiré pars une couleur plutôt inhabituelle…” Mr et Mme V****** s’approchent, et découvrent avec stupeur un plan de jonquilles non pas jaunes, mais bien violettes ! “Nous n’avons pas osé les cueillir, conscients de leur valeur scientifique.” Ils décident donc de se rendre immédiatement à l’agence de tourisme de F**** pour en informer les autorités. Accompagnés d’un agent touristique et de quelques passants curieux, ils retournent sur le site. “Je ne vous cache pas que je ne les ai pas crus, au début, nous a confié l’agent touristique. Vous savez, j’ai l’habitude des canulars d’été, qu’inventent des touristes qui s'ennuient, c’est fréquent dans nos régions, vous savez (…)”. Le pied de jonquille n’a évidemment pas disparu, et la petite troupe décide de prélever un échantillon de cette plante hors du commun.

    Le lundi suivant, les analyses du laboratoire le plus proche tombent : cette couleur est bien due à une mutation génétique. “C’est relativement courant, nous confie Hector H********, notre spécialiste. Ce genre de mutation génétique est le fruit du hasard et peut se propager à d’autres individus si ce caractère [ici la couleur violette] est favorable à la survie de l’espèce”. Quelle ne fut pas la surprise du scientifique quand, le lundi suivant, il se rendit sur le lieu de la découverte ! À quelques dizaines de mètres du premier pied, dans un sous bois, il découvre un véritable parterre de jonquilles violettes. “Il paraît évident que cette couleur offre un meilleur potentiel à la jonquille sur ce terrain, car elle prolifère en ce lieu”. À l’heure actuelle, on s’interroge sur le possible dérèglement écologique du milieu suite à l’apparition de cette nouvelle espèce. Mais si c’est encore un grand point d’interrogation qui subsiste, les fleuristes se disent déjà ravis par la jonquille violette, qu’ils annoncent déjà comme la fleur incontournable en ce début de printemps.

    Image : quelques spécimens

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    Métal mal connu et salon de l’automobile ne font pas bon ménage ❦ Dossier PSJ 13

    Lors du dernier salon de l’automobile, une nouveauté dite exceptionnelle par les connaisseurs du produit est pourtant passée totalement inaperçue du grand public. Il est donc de notre devoir de vous informer de cette formidable avancée technologique. En effet, la marque “M&D” (célèbre marque d’origine Arméricaine) a présenté lors du salon le tout premier prototype de voiture volante destinée au grand public. Mais comment fait-elle pour voler ? “C’est très simple, a déclaré le porte parole du groupe M&D, nous utilisons un métal proche de l’uranium, mais non radioactif pour faire “léviter” la voiture”. Ce métal d’un genre nouveau (qui reste une énigme pour les scientifiques) a été extrait, si on en croit les déclarations officielles de M&D, d’une carrière lunaire, non déclarée par la NASA pour ne pas alerter le CG2FL (Conservatoire de la Géologie, de la Faune et de la Flore Lunaire).

    Afin de prouver cette provenance, nous avons dû entamer de longues négociations avec la NASA qui tenait à garder secrète cette information afin d’éviter d’éventuels pillages sur le site qui s’avère, il faut l’avouer, d’une qualité et d’une rareté exceptionnelle.” La NASA a tout d’abord refusé, mais les informations (pour des raisons encore inexpliquées) ont finies par s’échapper, et l’entreprise n’a eu d’autre choix que de précipiter la sortie du véhicule, de se hâter de déposer les brevets, et de commencer sa campagne de pub. “Le modèle que nous avons exposé n’est donc qu’un prototype peu évolué” s’est empressé d’ajouter le porte-parole. Effectivement, un incident sans doute lié aux propriétés encore mal connues du métal lunaire, est survenu juste après la clôture du salon : le véhicule s’est mis à dégager une fumée verdâtre et une odeur de moelleux au chocolat. L’affaire a été bien entendu étouffée, et M&D a annoncé que la sortie officielle de cette voiture révolutionnaire serait reportée, le temps que les recherches sur le métal “chocolat” (comme on l’appelle à présent) soient terminées, c’est à dire aux environs de… 2025.

    Image : ce croquis visiblement réalisé par un apprenti est malheureusement la seule image que nous pouvons vous fournir

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  • Au mois de janvier dernier, lors du commencement de travaux visant à construire un nouveau gymnase au lycée St Polochon, à Hauteville-lès-Monts, quelle ne fut pas la surprise des ouvriers quand ils découvrirent les ruines d’un château médiéval !

    Moi, en 20 ans de chantier, j’ai jamais vu ça, ma parole !” Nous a confié un des ouvriers. La documentaliste du lycée, passionnée d’histoire médiévale, s’est empressée d’aller consulter les archives régionales. “Après de longues et fastidieuses recherches, j’ai trouvé effectivement trace d’une construction de ce type à l’emplacement de notre cher lycée St Polochon.” La construction du gymnase a été interrompue pour décider de la sauvegarde ou non de ce site unique à Hauteville-lès-Monts. Des fouilles ont débutées à la mi-février mais, récemment, les fonds sont venus à manquer, et elles ont dues être interrompues faute de moyens. “Je suis outrée du manque d'intérêt que manifeste le département au sujet de ce chantier, nous dit la CPE. Ce patrimoine pourrait être une grande source de revenues pour la commune, notamment sur le plan touristique”. De plus, c’est dans l’enceinte du lycée que se trouvent les ruines. “Les élèves ne peuvent pas se trouver dans d’autres ruines que leur lycée !” Clament des banderoles affichées sur les grilles de l'établissement par les parents d’élèves. Mais qu’en pensent les principaux intéressés ?

    Perso, je trouve ça balot de pas agrandir le bahut à cause de trois cailloux préhistoriques…

    Pour ma part, je suis ravie qu’un site d’une telle importance ait pu revoir le jour dans notre cher lycée, ces ruines attireront sans doute de nouveaux élèves !”

    Ce sont donc des avis très divers qui divisent les adolescents. De nouveaux élèves ? Sans doute, puisque dès la rentrée de septembre, une nouvelle option facultative verra le jour : Archéologie. “Ce sont les élèves qui entreprendront les fouilles, nous explique le responsable du projet et futur professeur. Ainsi, ils participeront activement à la restauration de notre patrimoine régional.” Un internat sortira de terre durant les vacances d’été, pour que dès la rentrée, les nouveaux élèves attirés par cette option unique, puissent s’inscrire au lycée St Polochon. À condition qu’on ne découvre pas un temple romain sous le terrain, bien sur !

    Découverte de ruines médiévales sous un lycée ❦ Dossier PSJ 13

    Image : Croquis imaginaire du château vu pas un élève de la section Art Plastique du lycée.

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  • Interlude : fausse pub ❦ PSJ 13

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