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Par little star le 1 Mars 2012 à 10:19
Bon. Cette fois-ci, vous ne vous plaindrez pas que c’est trop difficile. Reliez les deux points roses en passant par les traits noirs. Et je ne vous dis pas bonne chance parce que c’est vraiment trop facile.
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Par little star le 1 Mars 2012 à 10:15
Je vous laisse le temps de vous remettre du choc...
Petite note de Little Star : Suspense suspense ! Je suis ravie d’arriver à cette partie de l’histoire, car, à partir de l’épisode précédent, les dessins deviennent un peu plus potables. La dernière page de cet épisode, je l’ai coloriée juste après l’avoir faite, car j’étais sure de l’effet que je voulais donner. Et ça m’a bien sauvé la mise ! J’étais vraiment à la bourre pour cet épisode, mais comme ce sont les vacances, je vais essayer de prendre de l’avance (ce que je n’ai jamais réussi à faire >.<“)
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Par little star le 1 Mars 2012 à 10:11
J’habite dans une maison sur laquelle un chêne centenaire est tombé il y a 5 ans. Quand nous l’avons acheté, il y a 2 ans, j’avais osé demander aux anciens propriétaires comment ça faisait d’entendre un arbre aussi lourd tomber. Il m’ont répondu qu’ils ne s’en souvenaient plus. La dame m’a dit qu’elle dormait, et l’homme a prétendu qu’il était en plein travail à ce moment-là. Trop occupés par leur activité respective, l’événement était passé inaperçu. Le couple ne s’était rendu compte que le lendemain matin, en allant cueillir des myrtilles pour le petit-déjeuner que l’arbre recouvrait la moitié de la toiture. Quand je lui ai demandé par quel miracle la charpente ne s’était pas écroulée, le mari avait bombé le torse et avait déclaré : “Ah ça mon gaillard, c’est parce que j’y ai laissé ma sueur il y a 10 ans.” À l’époque de la chute de l’arbre, personne n’avait semblé étonné de la résistance de la maison, ni du fait que la souche s’était déplacée de 10 m par rapport à son emplacement d’origine, sans laisser de traces. Je ne sais pas pourquoi les précédents locataires ont vendu cette maison si extraordinaire, mais moi, je l’aime bien. Ma chambre se trouve juste sous le toit, et, si on ne les coupe pas, les branches ont tendance à pousser entre les murs. Pas doué en bricolage, j’ai abandonné cette entreprise depuis longtemps. Les soirs de fin de printemps (et uniquement ceux-ci) on peut entendre le murmure des feuilles caressées par une brise invisible en s’endormant.
Pas de doute, c’est la maison de mes rêves…
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Par little star le 1 Mars 2012 à 10:09
16 lunes, de Kami Garcia et Margaret Stohl (1er tome d’une trilogie), édition Hachette Jeunesse pour le grand format, Le Livre de Poche, pour l’édition poche.
Ethan est victime de rêves obsédants depuis quelques temps, quand une nouvelle élève nommée Lena fait son apparition dans son petit lycée du sud des États-Unis. Le jeune homme ne tarde pas à faire le lien entre les deux événements singuliers : il rêve bien de Lena depuis des mois, sans savoir que la jeune fille fait de même. Encore une histoire entre chamallow et fraise tagada ? Détrompez-vous, c’est sans compter la véritable nature de la jeune fille, et le fait qu’Ethan fait des cauchemards, et non des rêves. Même si au départ, on craint que l’histoire d’amour empiète trop sur le fantastique, l'équilibre est assez bien trouvé, et on se prend rapidement à l’histoire. De plus, une panoplie de personnages hauts en couleur font leur apparition : entre une gouvernante qui sait parler aux morts, une mère usurpatrice et hystérique, et une coalition de pestes, nos deux héros n’ont pas fini de trouver des obstacles à franchir. Mon porte-monnaie attend avec impatience la sortie du tome deux en poche, car je ne suis pas sûre de vouloir dépenser dix euros de plus pour avoir la suite tout de suite (je suis radine).
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